(English below)
Delft blue on paper (série)
Porcelaine
Dim : 33.5 cm diamètre
Prix de vente : CHF 550.-/ pièce, CHF 2'200.- ensemble (pièces non utilitaires, murales, accroche prévue à l’arrière).
Au centre de la pratique de Keiko Machida, il y a le dessin. Lors de ses études à la HEAD-Genève, elle découvre la céramique qui l’appelle par son caractère insaisissable. La céramique au travers de sa matérialité se transforme, se métamorphose sans cesse créant une porte vers des mondes magiques. En effet, l’artiste cherche à voir au-delà de la forme, de la maitrise technique. Le récit, les rencontres sont plus importantes que le résultat final.
Delft blue on paper, né d’une résidence à l'ekwc, illustre parfaitement le rapport paradoxal qu’elle entretient avec le dessin et la céramique. Au départ Keiko Machida a commencé à dessiner des formes géométriques et symétriques, des motifs décoratifs, animales et le végétales, d’après des livres trouvés à la bibliothèque de l’ekwc. Ces dessins étaient réalisés aux pastels secs de la gamme “delft blue” sur des papiers découpés en cercles. Elle tente ensuite de supprimer la frontière entre le dessin et la céramique sans les hiérarchiser. En collaboration avec Jo Sijen, sculpteur et modeleur, elle a élaboré une forme d’assiette qui effaçait la limite de cadre, gardant une certaine ambiguïté entre le dessin et la céramique. En a résulté une série d’assiettes non fonctionnelles, comme des feuilles blanches, dessinées à l’oxyde de cobalt.
A venir : Expositions en 2021 Au point commun (Cran-Gévrier) et au salon Céramique 14 (Paris). Dates à définir.
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Delft blue on paper (series)
Porcelain
Dim : 33.5 cm diametre
Sale price : CHF 550.-/ piece, CHF 2'200.- (overall) (not functional, wall-hanging, rear hook).
At the centre of Keiko Machida’s practice is drawing. During her studies at the HEAD-Geneva, she discovered ceramics that called her by its elusive character. Ceramics through its materiality transforms, constantly metamorphoses creating a door to magical worlds. Indeed, the artist seeks to see beyond form, technical mastery. The story, the meetings are more important than the final result.
Delft blue on paper, born during a residency at the ekwc, illustrates perfectly the paradoxical relationship she maintains with drawing and ceramics. Initially Keiko Machida began to draw geometric and symmetrical forms, decorative, animal and plant motifs, according to books found in the ekwc’s library. These drawings, were made with dry pastels of the range “delft blue” on paper cut in circles. She then tries to remove the border between drawing and ceramics without prioritizing them. In collaboration with sculptor Jo Sijen, she has developed a plate shape that erased the frame boundary, keeping a certain ambiguity between drawing and ceramics. The result was a series of non-functional plates, such as white paper sheets, drawn with cobalt oxide.